They want to break free

They want to break free

Après Rivages en 2023, l’association Musiques en Jeux présente l’opéra rock Break Free, les 13 et 14 mai au Théâtre de Verdure à Nice, avec de jeunes azuréens qui interprèteront des titres emblématiques du groupe Queen.

Dans la mémoire artistique du département des Alpes-Maritimes, les « opéras d’enfants » occupent une place privilégiée. Depuis les années 1990, le chef de chœur et d’orchestre Alain Joutard est parvenu à installer une dynamique liant enseignants, élèves et créateurs qui a permis la création de 17 œuvres vocales, scéniques et chorégraphiques à destination de la jeunesse, présentées dans les plus grandes salles (Opéra de Nice, Théâtre de Nice, Acropolis, Palais des Festivals de Cannes) et a donné naissance à un partenariat avec l’Éducation Nationale. S’inscrivant dans cette dynamique, l’Association Musiques en Jeux poursuit la réalisation de ces actions artistiques en faveur des jeunes azuréens. En choisissant l’univers musical de Queen, l’un des groupes de rock les plus populaires au monde, réputé pour ses polyphonies vocales remarquables, nous avons là tous les ingrédients nécessaires pour susciter l’enthousiasme des jeunes chanteurs, collégiens et étudiants, avec le précieux soutien de leurs professeurs de musique. 

Un chœur constitué de 420 collégiens et 30 étudiants du département Musique de l’Université Nice Sophia-Antipolis se joindra à l’ensemble vocal Juniors en scène, composé de jeunes choristes qui bénéficient toute l’année d’une formation vocale, musicale et scénique, pour interpréter les plus grands titres de la bande à Freddie Mercury. À cette distribution, s’ajoutent 8 jeunes chanteurs solistes, sélectionnés après un casting vocal, et un groupe de musiciens professionnels, sous la direction musicale d’Alain Joutard et sur une mise en scène d’Isabelle Servol, qui collaborent tous deux sur ces opéras d’enfants depuis de nombreuses années.

13 & 14 mai, Théâtre de Verdure, Nice. Rens: FB MusiquesEnJeux

photo : répétitions Rivages, 2023 © Frédéric de Faverney