06 Oct Les douces mélodies d’Ibrahim
Plus de 30 ans après ses premiers concerts en duo avec son père, le Franco-Libanais Ibrahim Maalouf est revenu à l’essentiel dans son dernier album : la mélodie et la trompette. Un retour aux sources de sa musique que le Carré Sainte-Maxime vous invite découvrir.
Musicien complet, adoubé par ses pairs de Sting à Quincy Jones en passant par Matthieu Chedid, Ibrahim Maalouf est clairement une star. Ses oeuvres en solo comme ses collaborations (Sting, Salif Keita, Amadou & Mariam, Tryo, Matthieu Chédid, Lhasa de Sela…) ont fait de lui un incontournable de la scène musicale française et internationale. Présent sur toutes les scènes du monde, il est devenu au fil des années le symbole d’une « world music » à la française. De ses origines libanaises, il a gardé un goût pour l’orientalisme – bien aidé par sa trompette à quatre tons. Du jazz, il conserve une appétence pour l’improvisation. Et de ses nombreuses collaborations avec des artistes rock ou variété, une certaine accessibilité de sa musique. Ibrahim n’a pas de chapelle !
À Sainte-Maxime, nous le retrouverons dans le contexte plus qu’intimiste du duo, où il se produira avec son fidèle ami et guitariste depuis plus de 10 ans, François Delporte. Leur union permettra de revisiter quelques-uns des morceaux phares du trompettiste parus sur l’album le plus épuré de sa carrière, 40 mélodies, sorti en novembre 2020 à l’occasion de ses 40 ans. Un opus sur lequel apparaissaient des artistes comme Richard Bona, Trilok Gurtu, Hüsnü Senlen-dirici, Jon Batiste, Arturo Sandoval, et bien d’autres…
15 oct 20h30, Carré Sainte-Maxime. Rens: carre-sainte-maxime.fr
(photo : Ibrahim Maalouf © Yann Orhan)