(LA)HORDE, ou la danse sauvage

(LA)HORDE, ou la danse sauvage

(LA)HORDE de danseurs du Ballet National de Marseille sera sur tous les fronts cet été : du côté de Châteauvallon, en collaboration avec le musicien Rone, et à Cannes, où le collectif présentera We should have never walked on the Moon, une exposition performative spécialement conçue pour le Palais des Festivals !

Pour la première fois, l’établissement cannois accueillera tout au long du mois de juillet une résidence d’artiste. Objectif : la création d’une pièce chorégraphique monumentale, présentée en première mondiale les 28 et 29 juillet 2022, se déroulant dans les différents espaces du Palais : des marches au Grand Auditorium en passant par les sous-sols et le salon des Ambassadeurs. Marine Brutti, Jonathan Debrouwer et Arthur Harel, à la tête du collectif, imagineront un récit chorégraphique entre danse, cinéma et art contemporain qui se focalisera sur les physicalités particulières développées dans les films d’action et les comédies musicales afin d’interroger la place du corps et de ses mouvements dans les fictions contemporaines. Un récit immersif composé à partir d’œuvres de (LA)HORDE comme Cultes, The Master’s tools, To da Bone, et de nouvelles créations, le tout raconté par 23 interprètes du Ballet National de Marseille, 7 jumpers, 5 cascadeurs, 5 performeurs, un DJ et 35 choristes. 

Le titre de cette œuvre sauvage fait référence à une célèbre phrase de Gene Kelly, « We should have never walked on the Moon » (Nous n’aurions jamais dû marcher sur la Lune), que le danseur avait coutume de prononcer et qu’il lança un jour à Buzz Aldrin lors d’une réception !

28 & 29 juil 21h, Palais des Festivals, Cannes. Rens : palaisdesfestivals.com
La(Horde) © Blandine Soulage