Alberto Storari a la banane

Alberto Storari a la banane

Avec ou sans accent, c’est comme voulez ! La Banane, c’est le nom d’une jeune galerie cannoise qui s’est fait une belle place sur la Côte depuis sa création en 2017. Installée au cœur de Cannes depuis 2020, elle accueille cet été une exposition d’Alberto Storari. C’est en 2017 que Bernard Coets fonde sa propre galerie. Trois ans plus tard, il la déménage dans le quartier dit La Banane (d’où son nom), à 10 minutes à pied du Palais des Festivals, à 5 minutes de l’Hôtel de Ville. Cette jeune galerie présente une vision globale de l’art contemporain sous toutes ses formes : peinture, dessin, collage, photographie, sculpture, vidéo, art numérique… Elle représente 11 artistes émergents et confirmés de 8 pays :
France, Belgique, Pays-Bas, Suisse, Italie, États-Unis, Japon, Australie. Elle explore des nouvelles manières de présenter l’art contemporain avec des expositions à Cannes, mais aussi hors les murs à l’étranger.

Jusqu’au 25 septembre 2022, La Banane présente On the trail of dream, première exposition personnelle en France du jeune artiste italien Alberto Storari, né en 1975. On peut y découvrir ses récentes Histoires de fantômes, avec des nouvelles peintures sur cartes géographiques et sur feuilles d’aluminium, des photographies sur papiers tissu, une série de collages et une vidéo. Il nous convie à découvrir les mondes invisibles des mers, des forêts, des ciels et aussi de nos vies urbaines. Son travail est une invitation à explorer ce que nous ne voyons pas à l’œil nu, un voyage dans l’univers des songes. Cette exposition se tiendra comme un « work in progress », changeant au fil des semaines de scénographie avec de nouvelles créations. Vous pouvez aussi retrouver trois de ses œuvres dans l’exposition Au fil de l’Île, un archipel imaginé, que nous évoquions dans notre précédent numéro, visible jusqu’au 13 novembre 2022 au Musée du Masque de Fer et du Fort Royal, à Cannes.

Jusqu’au 25 sep, Galerie La Banane, Cannes. Rens: labanane.art
Vue de l’exposition d’Alberto Storari © La Banane, Cannes